«Culbuter le malheur» : l'incommensurable brouhaha des morts — Le Devoir
« Cet appel à une parole souveraine côtoie le reproche d’une dépossession narrative : "Bien souvent, ce sont d’autres qui racontent ce génocide au monde, nous donnant l’impression d’être devenus les figurants de notre propre histoire." » 🗞
– Beata Umubyeyi Mairesse, en conversation avec Yannick Marcoux, dans Le Devoir