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Au couchant de la terre promise

  • Jean Sioui

    Finaliste, prix de la poésie Jean-Noël-Pontbriand 2022

     Seconde sélection, Prix francophone international 2022 du Festival de la poésie de Montréal

    Un blizzard a percé l’écran de ma vie
    Tourbillon dans mon coeur
    Mon âme l’a saisi
    Pour en faire une larme
    Qui a mouillé les yeux du monde entier
    Le sourire de Joyce m’a dit
    Pleure
    Apaise les préjugés
    Avant que la tempête brise les humains

     

     

    Une femme a laissé sa voix sur un lit de préjugés. J’ai reconnu son cri. Je l’habite et le propulse dans mes poèmes. Ce recueil de poèmes dédié aux enfants de Joyce Echaquan est un cri du coeur. Jean Sioui, Wendat, et aîné, frappe à la porte de la justice. Le poème, alerte rouge contre l’apathie et l’indifférence, évoque l’histoire tragique des Premières Nations. Ce livre est aussi un cri de ralliement et de solidarité entre Autochtones afin de trouver les mots pour nommer et combattre la discrimination systémique.

     

    Né en 1948, Jean Sioui est poète et romancier. Il est Wendat du clan de l’Ours. Il publie en 1997 son premier recueil de poésie, Le pas de l’Indien (Le Loup de Gouttière). Mentor d’une nouvelle génération d’auteurs autochtones, Jean Sioui fonde en 2010 les Éditions Hannenorak avec son fils Daniel Sioui. Il a publié chez Mémoire d’encrier Mon couteau croche (2015) et A’yarahskwa’ • J’avance mon chemin (2019).

     

     

     


    Poésie   978-2-89712-782-4    17$    80 pages

    25 août 2021 (Québec)
    à venir (France/Belgique/Suisse)

    Disponible en format papier et numérique


     

     

    Ce que la presse en dit

    Avec son dernier recueil, Au couchant de la terre promise, le poète originaire de Wendake pose des mots sur la mort de Joyce Echaquan, la pandémie, le racisme et la crise environnementale… Sans laisser en chemin, malgré tout, son optimisme.

    Léa Harvey, Le Soleil

    La poésie, c’est plus profond, je crois, qu’un discours ordinaire. […] On peut la méditer, on peut la lire et ne pas s’en imprégner tout de suite. On peut y réfléchir, ça peut nous revenir… C’est quelques mots, mais c’est très large.

    Entrevue avec Marie-Louise Arsenault, Plus on est de fous, plus on lit ! 

    Au couchant de la terre promise est un message d’espoir, lancé au terme du confinement et de cette année de pandémie, autant qu’un cri du cœur pour que tombent les barrières des différences entre les peuples et que notre commune humanité soit reconnue.

    Entrevue de Jean Sioui, Bonjour la côte

    Dans cet émouvant cri du cœur, le poète wendat sublime ses mots en une puissante arme, revendiquant la justice et l’égalité, dénonçant les bavures et les préjugés et retraçant les épreuves d’hier et d’aujourd’hui, comme la pandémie, la mort de Joyce et la colonisation. Une prise de parole salutaire d’une grande beauté.

    Marie-Lise Rousseau, Journal Métro

    Ce très beau recueil revisite la nature, se penche sur la destinée des peuples autochtones, sur leur sentiment d’appartenance et de dépossession.

    Hugues Corriveau, Le Devoir

    Au micro de Melissa Mollen Dupuis, Jean Sioui explique pourquoi il parle de la nature, du temps qui passe et du décès de Joyce Echaquan dans son neuvième recueil Au couchant de la terre promise.

    Entrevue avec Melissa Mollen, Kuei ! Kwe


    août 12th, 2021 | Mémoire d'encrier | Commentaires fermés sur Au couchant de la terre promise |

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