Femmes rapaillées
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Sous la direction d’Isabelle Duval et de Ouanessa Younsi
En 1970, le poète Gaston Miron publie L’homme rapaillé, dont le poème liminaire – fondateur – marque l’arrivée, la naissance, l’aube : « je ne suis pas revenu pour revenir / je suis arrivé à ce qui commence ». Près de cinquante ans plus tard, quarante et une femmes poètes, Québécoises d’ici et d’ailleurs, de générations et de sensibilités différentes, prennent la parole, pour que le commencement continue d’advenir.
Engagées dans l’avenir, des femmes poètes deviennent ce chant ininterrompu. Elles révèlent par leurs voix autant de chemins d’arriver à ce qui commence, de naître à soi, à l’autre et au monde. Elles écrivent non pas à la suite de Miron, mais avec et contre lui.
Auteures
Marie-Célie Agnant, Geneviève Amyot, Nora Atalla, Martine Audet, Daphnée Azoulay, Joséphine Bacon, Virginie Beauregard D., Geneviève Boudreau, Nicole Brossard, France Cayouette, Véronique Cyr, Denise Desautels, Hélène Dorion, Louise Dupré, Isabelle Duval, Rose Eliceiry, Isabelle Forest, Violaine Forest, Valérie Forgues, Catherine Fortin, Mireille Gagné, Isabelle Gaudet-Labine, Marie-Andrée Gill, Natasha Kanapé Fontaine, Tania Langlais, Mona Latif-Ghattas, Andrea Moorhead, Laure Morali, Joanne Morency, Laurance Ouellet Tremblay, Anne Peyrouse, Judy Quinn, Diane Régimbald, Agnès Riverin, Erika Soucy, Rae Marie Taylor, Rosalie Trudel, Laurence Lola Veilleux, Louise Warren, Nathalie Watteyne, Ouanessa Younsi.
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Poésie 978-2-89712-369-7 24,95$ 240 pages
29 février 2016 (Québec)
Disponible en version papier et numérique
Ce que la presse en dit
Quarante-et-une auteures d’origines et de générations diverses unissent leurs voix dans un recueil de poésie intitulé Femmes rapaillées.
Camille Dufétel, Journal de Montréal
Isabelle Duval et Ouanessa Younsi ont glané la parole de femmes et poètes de tous les âges et horizons. Ces Femmes rapaillées ne tentent pas d’offrir une suite à l’oeuvre de Gaston Miron, mais s’en inspirent plutôt pour clamer haut et fort les multiples facettes de leur féminité.
Valérie Lessard, Le Droit
Toute initiative pour mettre en lumière la parole des femmes ne saurait qu’être louée, d’autant plus quand la proposition est de qualité. Belle anthologie, donc, et proposition heureuse à venir saisir l’importance d’une incarnation vive de la parole nécessaire.
Hugues Corriveau, Le Devoir
Un recueil touchant et inspirant.
Catherine Gauthier, Nouvelles CSQ
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