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L’enfant hiver

  • Virginia Pésémapéo Bordeleau

    Une mère accompagne son fils mourant. Pour franchir les chemins du destin, Virginia Pésémapéo Bordeleau écrit ce roman, guidée par les yeux et la douce voix du fils défunt. S’alternent et se recoupent souvenirs, témoignages et histoires de vie. Les enfances, celles de la mère et du fils, s’enchevêtrent ainsi que les douleurs et les lignes de failles de la famille. Un livre puissant, tendre et lumineux.

    Voir un enfant mourir, le sien
    Assister à son agonie avec le sourire pour le rassurer
    Être là, avec lui
    J’ai tenté de trouver les mots pour l’innommable
    En plongeant avec tout mon courage dans une fange
    Celle de mon enfance dévastée
    En maintenant contre moi l’amour de mon fils
    En souvenir de lui, sortir du deuil
    Et émerger vers la lumière.

    Métisse crie, née aux Rapides-des-Cèdres, Virginia Pésémapéo Bordeleau est peintre et romancière. Bachelière en arts plastiques, elle poursuit une œuvre sensible dans laquelle famille et territoire, animaux mythiques et plantes et rochers forment un monde organique, chargé d’une énergie sans cesse renouvelée. Elle a reçu plusieurs prix pour ses toiles. Elle a publié Ourse bleue (roman, La Pleine lune, 2007), De rouge et de blanc (poésie, Mémoire d’encrier, 2012), L’amant du lac (roman érotique, Mémoire d’encrier, 2013) et L’enfant hiver (roman, Mémoire d’encrier, 2014). 


    Roman      978-2-89712-257-7       160 pages       19,95$    

    15 septembre 2014 (Québec) 

    Disponible en version papier et numérique


     

    Ce que la presse en dit

    À lire dans un chalet dans le nord, quand il neige, en buvant un thé du Labrador. C’est un superbe livre. Beaucoup de belles choses là-dedans. Il y a de belles relations humaines. On remarque des images très fortes, malgré un récit très simple.

    Biz, Radio-Canada/Plus on est de fous, plus on lit!

    Des pires douleurs naît parfois la beauté. De la mort tragique de son fils et d’événements difficiles de son propre passé, la romancière et peintre Virginia Pésémapéo Bordeleau a su tirer L’enfant hiver, un livre plus récit que roman, véritable mémorial poétique sans pathos ni faux-fuyants, empreint finalement de lumière. Entrevue avec la mère de Simon.

    Marie-Christine Blais, La Presse

    C’est le tiraillement incessant de la mère devant sa propre histoire et son prolongement dans l’histoire de son fils mort qui donne tout son sens au récit. Toute sa force explosive. Ça nous happe, c’est un cri qui déchire.

    Danielle Laurin, Le Devoir

    De plus en plus, les parents qui ont perdu un enfant se confient, osent parler de leur peine, ouvrent leur cœur sur ce deuil si difficile et si irrationnel. La romancière Virginia Pésémapéo Bordeleau a écrit ce qui ne se dit pas, a mis des mots sur des émotions si vives qu’on pourrait s’y brûler juste à lire les pages de son livre.

    Élizabeth Bigras-Ouimet, Les Méconnus

    Virginia Pésémapéo-Bordeleau raconte d’une plume poétique la grossesse, la naissance de son garçon, l’annonce d’un diagnostic mortel, la vie durant et après la maladie et l’acceptation de perdre un enfant. Le récit est complètement renversant et fait vraiment chaud au cœur.

    Anne-Lovely Étienne, 24h

    Une histoire touchante. […] Un livre rempli d’espoir, de lumière, d’amour.

    Alain Vézina, Radio-Canada/Des matins en or
     

    Entrevue 

    [Entrevue au Radio magazine (Radio-Canada)]


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