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Les Autochtones, la part effacée du Québec

  • Gilles Bibeau

    Lauréat, médaille Luc-Lacourcière 2021

    Les Autochtones, la part effacée du Québec retrace les premiers contacts entre les colons français et les Autochtones. Cette rencontre fondatrice a modelé l’identité québécoise et le regard sur l’Autre. Les récits des voyageurs-explorateurs et colons dialoguent avec les récits oraux, les mythes, les légendes et les écrits autochtones contemporains. Émerge un portrait riche où se confrontent et s’enchevêtrent représentations et impensé colonial. En replaçant les Autochtones au cœur de l’histoire du Québec, Les Autochtones, la part effacée du Québec propose une éthique qui rompt avec la vision unique, et rétablit l’égale dignité des peuples en présence.

     

    L’avenir des relations entre Autochtones et Québécois et le sens même de la nation du Québec dépendent intimement de ce que sera ou ne sera pas la réécriture à parts égales de notre histoire.

     

    Gilles Bibeau est anthropologue et professeur émérite à l’Université de Montréal. Il a entrepris des recherches dans plusieurs pays d’Afrique, d’Amérique latine ainsi qu’au Québec et en Inde. Il a publié chez Mémoire d’encrier Généalogie de la violence. Le terrorisme: piège pour la pensée (2015) et Andalucía, l’histoire à rebours (2017).

     

    Image de la couverture: My Four Grand Mothers, Dee Barsy

     


    Essai    978-2-89712-725-1     29,95$     360 pages

    2 décembre 2020 (Québec)
    à venir (France/Belgique/Suisse)

    Disponible en format papier et numérique


    Ce que la presse en dit

    Dans Les Autochtones : la part effacée du Québec, l’histoire canonique ne monopolise pas la parole. Les récits des explorateurs et des colons côtoient les mythes, les légendes et les écrits autochtones contemporains, tout aussi capitaux. Le riche texte de Gilles Bibeau, anthropologue et professeur émérite à l’Université de Montréal, permet « une réécriture à parts égales de notre histoire » nécessaire et bénéfique pour l’avenir des relations entre Autochtones et Québécois.
    La revue Les Libraires
    L’automne dernier, la mort, à Joliette, d’une Autochtone de la nation attikamek, Joyce Echaquan, victime de maltraitance raciste par des soignantes, a éclairé de façon brutale ce que Gilles Bibeau appelle « la part effacée du Québec ».
    Michel Lapierre, Le Devoir
    Cet essai bien documenté s’inscrit dans la foulée des ouvrages de Serge Bouchard et Marie-Christine Lévesque et jette un éclairage novateur et nécessaire – même si ça fait mal — sur la présence autochtone millénaire en Amérique du Nord.
    Jacques Lanctôt, Le Journal de Montréal

    octobre 27th, 2020 | Yara El-Ghadban | Commentaires fermés sur Les Autochtones, la part effacée du Québec |

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