Simon Harel

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  Lauréat du prix Trudeau (2009-2012), Simon Harel est membre de la Société Royale du Canada. Il a ouvert, au cours des vingt-cinq dernières années, un champ de recherche novateur à la frontière des études littéraires et culturelles. Il a été l’un des premiers à préciser la singularité de l’expérience migratoire au Québec. Son ouvrage Voleur de parcours, publié en 1989, est reconnu comme l’un des livres les plus significatifs des années 1980 et 1990 dans le champ des études culturelles au Québec. Auteur et directeur de publication de plus de trente ouvrages, il s’est intéressé aux problématiques interculturelles, aux questions qui font référence à la place de l’étranger dans la société, et a poursuivi des recherches sur la précarité de nos espaces de vie. Conscient de l’insuffisance de certains discours critiques (sur l’hybridité, le métissage, l’identité à la carte), il se donne à présent comme objectif de cerner les formes instables, souvent conflictuelles, de la mobilité culturelle.

   

  Publication chez Mémoire d’encrier 

  

  
  
  février 9th, 2016 | Yara El-Ghadban | Commentaires fermés sur Simon Harel | Étiquettes : actualité, an antane kapesh, anthologie de la littérature amérindienne, Antonin Artaud, arts amérindiens, Attention écrivains méchants, auteur canadien francophone, auteur francophone, auteur québécois, authenticité des voix, autochtonie, Bacon Joséphine, Braconnages identitaires Un Québec palimpseste, Cadastres, Canadian Who's Who, collection cadastres, collection mémoire d'encrier, corpus autochtone, critique, cultures et imaginaires du monde, Dany Laferrière, dialogues et échanges, Diversité, diversité culturelle, écrivain canadien francophone, écrivain francophone, écrivain québécois, édition mémoire d'encrier, edition montréal, errance, Espaces en perdition. Humanités jetables, Espaces en perdition. Les lieux précaires de la vie quotidienne, Essai, essai francophone, essai littéraire, essayiste, études littéraires et culturelles, exil, fenêtres sur le monde, Fontaine Naomi, francophonie, Gilles Marcotte, Habiter le défaut des langues. L’analyste, identité, je suis une maudite sauvagesse, Kanapé-Fontaine Natasha, l’analysé, L’écriture réparatrice. Le défaut autobiographique, l’écrivain : Wilfred R. Bion, La démesure de la voix. Parole et récit en psychanalyse, La rage de Naipaul Essai-dictée, Le récit de soi, Le voleur de parcours. Identité et cosmopolitisme dans la littérature québécoise contemporaine, les éditions mémoire d'encrier, Les Passages obligés de l’écriture migrante, lieu-carrefour, lire autrement, littérature, littérature autochtone, littérature exil, littérature monde, littérature premières nations, littérature québécoise, littérature voyage, Méditations urbaines autour de la place Émilie-Gamelin, mémoire d'encrier, Mestokosho Rita, métissage, migration, mobilité culturelle, Montréal imaginaire. Ville et Littérature, oralité, passerelles, penser l’autre autrement, Pésémapéo-Bordeleau Virginia, pierre nepveu, place aux littératures autochtones, Presses de l’Université Laval, Prix du Conseil des Arts de la Communauté urbaine de Montréal, Prix Gabrielle-Roy, prix Spirale Eva-Le-Grand, prix trudeau, prix Victor-Barbeau de l’Académie des Lettres du Québec, problématiques interculturelles, Récits et médias autochtones, Rodney Saint-Éloi, Samian, sciences humaines & sociales, Simon Harel, société royale du canada, solidarité, tout-monde, Un boîtier d’écriture. Les lieux dits de Michel Leiris, universitaire, vagabondage, Vies et morts d’Antonin Artaud : le séjour à Rodez, voleur de parcours, voyage, XYZ Éditeur

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