fbpx
Panier

Posts Tagged ‘Mona Latif-Ghattas’

  • May Telmissany

    juin 16th, 2015 | Auteur·trice·s | Yara El-Ghadban | Commentaires fermés sur May Telmissany

    Égyptienne et Canadienne, May Telmissany est professeure agrégée au département des langues et littératures modernes et membre du Groupe de recherche en Études Arabes Canadiennes à l’Université d’Ottawa. Ses romans ainsi que ses recueils de nouvelles ont été acclamés par la critique aussi bien égyptienne que française. Doniazade a reçu le prix Arte Mare (Bastia, […]

    (Lire la suite…)

  • Mona Latif-Ghattas

    juin 30th, 2011 | Auteur·trice·s, Traducteurs | Yara El-Ghadban | Commentaires fermés sur Mona Latif-Ghattas

    Née au Caire, Mona Latif-Ghattas vit à Montréal depuis 1966. Poète et romancière, elle se consacre également à la musique et au théâtre.   Publication chez Mémoire d’encrier : Collaboration chez Mémoire d’encrier :     Traduction chez Mémoire d’encrier : Ceci n’est pas un paradis, de May Telmissany  

    (Lire la suite…)

  • Ceci n’est pas un paradis

    janvier 3rd, 2017 | Catalogue, Chronique, Collections | Yara El-Ghadban | Commentaires fermés sur Ceci n’est pas un paradis

    May Telmissany Traduit de l’anglais par Mona Latif-Ghattas Ceci n’est pas un paradis se situe aux frontières du récit de voyage, de la nouvelle et de la chronique intimiste. Ces récits qui mêlent cultures et territoires s’enracinent dans ce qu’il y a de plus touchant en l’humain : la générosité, la force et le courage. Se dessine également en arrière-plan […]

    (Lire la suite…)

  • Femmes rapaillées

    février 9th, 2016 | Anthologie secrète / poésie, Catalogue, Collections, Les nouveautés | Yara El-Ghadban | Commentaires fermés sur Femmes rapaillées

    Sous la direction d’Isabelle Duval et de Ouanessa Younsi En 1970, le poète Gaston Miron publie L’homme rapaillé, dont le poème liminaire – fondateur – marque l’arrivée, la naissance, l’aube : « je ne suis pas revenu pour revenir / je suis arrivé à ce qui commence ». Près de cinquante ans plus tard, quarante […]

    (Lire la suite…)