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Vient de paraître chez Mémoire d’encrier

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    Le jour de l’émancipation

    de Wayne Grady

    Traduit de l’anglais par Caroline Lavoie


    Le premier août, Jour de l’Émancipation, qui marque l’anniversaire de l’abolition de l’esclavage dans l’Empire britannique, il y avait toujours une grande fête à Jackson Park…


    Écrivain, romancier et traducteur, Wayne Grady est un important auteur canadien. Nominé pour le Scotiabank Giller Prize, Le jour de l’émancipation est considéré comme l’un des meilleurs titres de 2013 par la CBC.

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    Ce roman, qui m’habite depuis une vingtaine d’années, a connu de nombreux changements. Les premières versions étaient tout en détours. Une saga familiale sur près de trois siècles et cinq générations; l’entreprise était trop ambitieuse pour un premier roman. Et quand je me suis trouvé assez sage et désespéré, j’ai enfin pu écrire cette histoire.

    Le livre 

    En 1925, Jack naît blanc dans une famille noire de l’Ontario. Noir pour ses parents et blanc aux yeux des autres, Jack, l’homme aux deux visages, subit sa double et paradoxale identité. Enrôlé dans la marine, il se retrouve à Terre-Neuve, où il rencontre Vivian qu’il séduit par ses talents de musicien jazz. Ce roman aborde des thèmes profondément humains: la famille, l’amour et le racisme, à une époque où l’Amérique vibre au rythme de la Deuxième Guerre mondiale.

    Un roman magistral sur les relations interraciales, le déni et les idées reçues, et leur impact sur trois générations.

    — Telegraph Journal

    Roman     29,95$     978-2-89712-318-5

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    Je suis la fille du baobab brûlé 

    de Rodney Saint-Éloi



    Né en Haïti, Rodney Saint-Éloi vit à Montréal depuis 2001. Écrivain, éditeur, passeur de mots et de mémoires, Prix Charles-Biddle 2012, il est l’auteur d’essais, de récits, d’anthologies et de recueils de poèmes.

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    ​​ J’ai des allumettes sous ma culotte
    Le ciel est trop grand pour les mathématiques
    Je marche avec mes rêves en bandoulière
    J’ai brûlé les arbres du ciel
    J’ai brisé les tables de la Loi
    Je suis impie et belle
    Dans la convulsion du songe
    Ma disgrâce n’a pas de port

    Le livre

    Je suis la fille du baobab brûlé métisse voix, routes et identités. D’un bout à l’autre, résonne d’une coulée cette parole libérée des miroirs et des compromis. La fille du baobab cherche son visage, son corps et son chemin dans le déferlement d’une écriture sans concession.

    Poésie     17,00$     978-2-89712-348-2

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    BOUM LITTÉRAIRE

    Parce que la littérature est une fête…

    Mercredi 7 octobre

    Joignez-vous à plus de cinquante écrivaines et écrivains pour la plus grande fête littéraire de la rentrée, le mercredi 7 octobre à La maison des écrivains (Montréal).

    Au programme : Lectures, performances, animations, lancement collectif, danse, musique, chant, cocktail soleil-rhum-couleurs, buffet créole et arabe.

    Dès 18 h, la soirée se poursuit jusqu’au bout du petit matin. Célébrons la diversité et le vivre-ensemble. Nous sommes déterminés à lire le monde AUTREMENT pour que les imaginaires se côtoient afin de repousser les ressentiments, les peurs et les replis… Nous allons ensemble ouvrir la parole à la mesure des espérances.

    La Maison des écrivains (3492, avenue Laval, Montréal) Métro Sherbrooke

    Renseignements et RSVP :

    Camille Robitaille, relationniste, Mémoire d’encrier

    relations@memoiredencrier.com; Tél. : 514 989-1491

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    septembre 29th, 2015 | Yara El-Ghadban | Commentaires fermés sur Vient de paraître chez Mémoire d’encrier | Étiquettes : , , ,

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