Ferdinand je suis à Paris
Ferdinand je suis à Paris
Ferdinand, fringant journaliste originaire de Port-au-Prince, suit son train-train quotidien à Paris jusqu’à ce message laissé sur son répondeur par Jenny, son amoureuse américaine : « Ferdinand, je suis à Paris. » Voilà notre héros partagé entre Jenny qui débarque et Olivia, son amante parisienne. À ce tourbillon amoureux s’ajoutent son roman à finir et ses articles à écrire, les soirées entre amis et les factures en souffrance, l’actualité en Haïti et la vie du quartier… Sans oublier la présence de son fidèle compagnon de route : un lapin nommé Cassegrain.
Avec Ferdinand je suis à Paris, Jean-Claude Charles signe une partition endiablée, véritable chant d’amour à la vie trépidante parisienne.
Parution 4 octobre 2021
Pages 225 p.
ISBN Papier 978-2-89712-809-8
ISBN EPUB 978-2-89712-810-4
ISBN PDF 978-2-89712-811-1
Disponible en format papier et numérique.
L'auteur
Jean-Claude Charles
Né en 1949 à Port-au-Prince et décédé à Paris en 2008, Jean-Claude Charles a quitté Haïti à l’âge de 21 ans. Il est l'auteur d’une œuvre immense, rééditée chez Mémoire d'encrier. Marguerite Duras a vu en lui le « meilleur écrivain d’aujourd’hui ». Poète et journaliste, il est aussi l'auteur d’essais et de romans, dont Sainte Dérive des cochons (1977) et Ferdinand, je suis à Paris (1987). Après Négociations (poésie), Manhattan Blues (roman), Bamboola Bamboche, De si jolies petites plages, Ferdinand je suis à Paris est son cinquième titre publié chez Mémoire d'encrier.
Les médias en parlent
Ferdinand je suis à Paris est également un livre de pulsions et d’angoisses, porté par une prose qui s’affranchit volontiers de la ponctuation, des règles de la syntaxe, et embrasse la puissance intérieure.
– Paul Kawczak, Lettres Québécoises
Mon histoire avec Jean-Claude Charles a toujours été de cet ordre : jubilations ! Et voici ma jubilation : nous avons affaire à un écrivain dont la terre est le monde. Il faut lire et relire Jean-Claude Charles, c’est-à-dire dans tous les sens du terme : l’ éprouver.
– Patrick Chamoiseau, extrait de la préface