Je remercie la nuit
prendre la vie à bras le corps, tordre le cou au destin
Je remercie la nuit
Flora et Yasmina vivent leur vie d’étudiante en Côte d’Ivoire. Le pays sombre dans une crise politique. Prises dans la tourmente, les deux amies voient leur destin bifurquer. Yasmina est forcée de rentrer au village alors que Flora se réfugie à Johannesburg où elle recommence sa vie.
Parution 19 août 2024
Pages 313 p.
ISBN Papier 978-2-89712-984-2
ISBN EPUB 978-2-89712-985-9
ISBN PDF 978-2-89712-986-6
Disponible en format papier et numérique.
Mots-clés : Femmes et luttes féministesLittératures africainesRébellion, révolte et résistance
L'auteur-trice
Véronique Tadjo
Née à Paris, Véronique Tadjo a grandi en Côte d’Ivoire. Poète, romancière, universitaire et peintre, elle a vécu au Nigeria, au Kenya et en Afrique du Sud. Son œuvre est saluée dans le monde entier
Les médias en parlent
Une écriture portée par l’espoir de la jeunesse qui caractérise les personnages.
Un portrait très touchant de la jeunesse africaine, d’une génération engagée qui rêve d’un meilleur avenir et de changement.
- Aurélie Baudrier, Librairie L’Insomnie (Décines-Charpieu), Page des libraires
Je voulais montrer ce que cela donne quand des jeunes femmes sont prises dans le tourbillon de la politique, comment leur rêve se brise et comment elles vont faire pour pouvoir se reconstruire.
C'est deux visages de la Côte-d'Ivoire, c'est-à-dire ce Nord [d'où vient Yasmina] qui pendant longtemps a été marginalisé, et puis Flora qui vient du Sud, Abidjan, la capitale économique qui prend tout.
Cette grande romancière française ayant des racines en Côte d’Ivoire nous livre une histoire fluide et bien ficelée sur les événements politiques qui ont troublé cet État d’Afrique de l’Ouest en 2010.
Avec Je remercie la nuit, la Franco-Ivoirienne, forte d’une oeuvre littéraire et artistique internationalement reconnue, brosse le portrait d’une jeune génération chez qui la crise de 2010-2011 a aiguisé la conscience de ses désirs politiques et culturels, mais aussi celle de la complexité des rapports de force et de la violence de la lutte.
- Paul Kawczak, Lettres québécoises