L'abattoir c'est chez nous
L'abattoir c'est chez nous
« Je porte cette histoire en moi remplie de silences. L’Europe et l’Amérique autochtone, le colon et la colonisée, c’est chez moi. Chez nous, c’est l’abattoir. » Enfant de deux mondes qui ne se parlent pas, la fille écrit à sa grand-mère et à sa mère. Elle parcourt l’espace dilaté des origines, des impostures et des blessures.
Parution 8 octobre 2021
Pages 105 p.
ISBN Papier 978-2-89712-806-7
ISBN EPUB 978-2-89712-807-4
ISBN PDF 978-2-89712-808-1
Disponible en format papier et numérique.
L'autrice
Fiorella Boucher
Née à Córdoba, Argentine, d’une mère guaraní-paraguayenne et d’un père français, Fiorella Boucher vit à Montréal. Sa poésie, une plongée dans le récit familial, s’inspire de son héritage autochtone. L’abattoir c’est chez nous est son premier livre.
Les médias en parlent
S’adressant à sa grand-mère guaraní, Fiorella Boucher remonte le fleuve familial et expose une émouvante quête d’absolution dans L’Abattoir c’est chez nous.
- Jade Bérubé, Lettres québécoises
Ce tout premier livre de Fiorella Boucher explore par la poésie des thèmes puissants comme l’identité, l’héritage colonial, la filiation et les liens intergénérationnels. S’inspirant de son propre héritage, l’autrice montréalaise née en Argentine d’une mère guaraní-paraguayenne et d’un père français s’adresse tour à tour dans ce recueil à sa mère et à sa grand-mère, à deux mondes qui ne se parlent pas. «L’Europe et l’Amérique autochtone, le colon et la colonisée, c’est chez moi, c’est chez nous, c’est l’abattoir», écrit-elle. Une nouvelle voix à surveiller.
- Marie-Lise Rousseau, Métro