L'amour au temps des mimosas
L'amour au temps des mimosas
L'amour au temps des mimosas est une fable d'amour. Adolescente, la narratrice jette au pied du mimosa ses rêves et ses promesses de tendresse. Des années plus tard, lorsque tout semble perdu dans les brumes du quotidien et de l'exil, remontent à la surface les mots d'amour.
Un livre délicat. Une écriture merveilleuse. Dans le télescopage des temps et des lieux, la narratrice sillonne le monde. Ce roman est constitué de récits brefs, de personnages discrets, d'errance érigée en mode de vie, de villes en guerre et de villes heureuses, d'émerveillements renouvelés, d'imaginaires croisés...
L'amour au temps des mimosas, un flot de souvenirs qui habitent tout être humain. Un film de la vie se déroule scène après scène, dans le claire-obscur des paysages. Un roman atypique, tendre et lumineux.
Parution 4 octobre 2010
Pages 134 p.
ISBN Papier 978-2-923713-13-7
ISBN EPUB 978-2-89712-007-8
Disponible en format papier et numérique.
L'autrice
Nadia Ghalem
Nadia Ghalem est journaliste, écrivaine et chercheure. Elle écrit des nouvelles, des romans, des poèmes, des pièces de théâtre et des scénarios. Ses activités de recherche portent sur la psychanalyse et l’écriture ainsi que sur les études postcoloniales. Plusieurs de ses ouvrages ont été finalistes pour des prix littéraires.
Les médias en parlent
On se laisse bercer par le flux de la mémoire et des sensations qui se superposent en fines touches. L'écriture fonctionne comme une confession voilée, pudique mais explicite, discrète et profonde. Le récit a de fortes résonances autobiographiques, les souvenirs arrangés, restitués, avec dissimulation ou au contraire mis en lumière avec excès. Du vécu restitué esthétiquement. Tout dans L'amour au temps du mimosa est descriptif et mystérieux à la fois, remarquable prouesse que celle de transformer une histoire belle et touchante en véritable épopée du coeur humain. On ne sort pas de la lecture de ce roman sans être touché, sans se sentir complice de l'auteure.
- Suzanne Giguère, Le Devoir