Legba

Les racistes n'ont jamais vu la mer (format poche)

Les racistes n'ont jamais vu la mer - C1
Les racistes n'ont jamais vu la mer - C4
Les racistes n'ont jamais vu la mer - C1

Les racistes n'ont jamais vu la mer (format poche)

Rodney Saint-Éloi

Yara El-Ghadban

Parlons de racisme puisque le racisme concerne tout le monde.

Les écrivains Rodney Saint-Éloi et Yara El-Ghadban invitent à prendre part à cette conversation délicate, mais combien nécessaire. Ni manifeste, ni manuel, ni acte d’accusation, mais plutôt récit résolument engagé. Les racistes n’ont jamais vu la mer engage le dialogue sur nous-mêmes et sur les autres. Tout s’exprime, se confronte et se répond. Les récits. Les témoignages. Les expériences. Les itinéraires. Les émotions. Et cette écriture osée, hybride, qui embrasse tout.

Parlons de racisme puisqu’il faut dépasser le repli sur soi. Pour vivre ensemble, autrement

Legba

Parution 29 janvier 2024

Pages 320 p.

ISBN Papier 978-2-89712-962-0

ISBN EPUB 978-2-89712-813-5

ISBN PDF 978-2-89712-814-2

Disponible en format papier.

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L'auteur

Rodney Saint-Éloi

Poète, écrivain, essayiste, éditeur, né à Cavaillon (Haïti), Rodney Saint-Éloi est l’auteur d’une quinzaine de livres de poésie, dont Je suis la fille du baobab brûlé (2015, finaliste au Prix des Libraires et au Prix du Gouverneur général) et Jacques Roche, je t’écris cette lettre (2013, finaliste au Prix du Gouverneur général).

Une anthologie de sa poésie est parue en France sous le titre Nous ne trahirons pas le poème et autres recueils (Éditions Points, 2021). Il a dirigé également plusieurs anthologies et a publié en 2010 aux Éditions Michel Lafon le livre Haïti Kenbe la !, préfacé par Yasmina Khadra.

Pour la scène, il a réalisé plusieurs spectacles comme Les bruits du monde et les Cabarets Roumain, Senghor, Césaire, Frankétienne. Il est l’auteur de l’essai Passion Haïti (Septentrion, 2016).

Il a obtenu en 2012 le prestigieux prix Charles-Biddle, puis a été reçu en 2015 à l’Académie des lettres du Québec. En 2019, il est devenu Compagnon de l’Ordre des Arts et des Lettres du Québec, et en 2021, il a été nommé Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres de la République française.

Il dirige la maison d’édition Mémoire d’encrier qu’il a fondée en 2003 à Montréal. Paru en 2021, Les racistes n’ont jamais vu la mer, qu’il a coécrit Yara El-Ghadban, a été finaliste au Prix des libraires 2022.

Découvrir l'auteur

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L'autrice

Yara El-Ghadban

Née en 1976, Yara El-Ghadban est romancière et anthropologue d'origine palestinienne. Elle est l’autrice de trois romans chez Mémoire d’encrier : L’ombre de l’olivier (2011), Le parfum de Nour (2015) et Je suis Ariel Sharon (2018). Son livre le plus récent, Les racistes n’ont jamais vu la mer, écrit avec Rodney Saint-Éloi, est paru en 2021. La danse des flamants roses est son quatrième roman. Yara El-Ghadban vit à Montréal.

Découvrir l'autrice

Les médias en parlent

Dans une ambiance débonnaire et candide d’une conversation entre amis, deux auteurs racisés font le récit de leurs expériences intimes et de la traversée de leur pays d’origine au Québec. Ils pensent ainsi, en toute liberté mais sans âpreté, le sujet délicat du racisme, nomment sans ambages les mots tabous et imaginent les avenues lumineuses d’un vivre-ensemble.

- Les Libraires

C’est tellement beau, Ça m’a ouvert les yeux. C’est superbement écrit.

- Julie St-Amour, Ça vaut le retour

D’emblée, Rodney Saint-Éloi et Yara El-Ghadban rassurent leurs futurs lecteurs et lectrices : Les racistes n’ont jamais vu la mer est un essai qui ne pointe personne du doigt et qui ne fait aucun appel au sentiment de culpabilité, bien au contraire.

- Plus on est de fous, plus on lit !

Yara El-Ghadban et Rodney Saint-Éloi ont planté un arbre et invitent tout le monde à l’entourer afin d’échanger au sujet du racisme. Les deux écrivains se relancent l’un l’autre tout au long du livre, Les racistes n’ont jamais vu la mer, en tablant sur leurs expériences personnelles.

- Mario Cloutier, La Presse

Lire Les racistes n’ont jamais vu la mer c’est élever ainsi son regard droit devant soi et accepter de faire un pas vers « l’Autre ». Pour avancer. Ensemble.

- Léa Harvey, Le Soleil

Dans ce livre-fleuve, qui tient du genre épistolaire, du récit initiatique, de la critique littéraire, du commentaire historique et du pamphlet politique, Rodney Saint-Éloi et Yara El-Ghadban dressent un portrait exhaustif des manifestations du racisme. Ils prennent toutefois soin de préserver un espace pour le rêve et pour un certain art de vivre, considérés ici comme des remparts intimes contre les agressions subies au quotidien.

- Alexis Raynault, Le Devoir

C’est un livre qui aborde de manière majestueuse la beauté de la diversité, liée aux notions qui sont apportées par les personnes ayant un autre regard sur le monde. Ce regard-là nous apporte quelque chose de plus dans notre propre regard sur le monde.

- Guillaume Cabana, Le Cochaux Show

Yara El-Ghadban et Rodney Saint-Éloi ont planté un arbre et invitent tout le monde à l’entourer afin d’échanger au sujet du racisme. Les deux écrivains se relancent l’un l’autre tout au long du livre, Les racistes n’ont jamais vu la mer, en tablant sur leurs expériences personnelles.

- Mario Cloutier, La Presse

Lire Les racistes n’ont jamais vu la mer c’est élever ainsi son regard droit devant soi et accepter de faire un pas vers « l’Autre ». Pour avancer. Ensemble

- Léa Harvey, Le Soleil

Dans ce livre-fleuve, qui tient du genre épistolaire, du récit initiatique, de la critique littéraire, du commentaire historique et du pamphlet politique, Rodney Saint-Éloi et Yara El-Ghadban dressent un portrait exhaustif des manifestations du racisme. Ils prennent toutefois soin de préserver un espace pour le rêve et pour un certain art de vivre, considérés ici comme des remparts intimes contre les agressions subies au quotidien.

- Alexis Raynault, Le Devoir

C’est un livre qui aborde de manière majestueuse la beauté de la diversité, liée aux notions qui sont apportées par les personnes ayant un autre regard sur le monde. Ce regard-là nous apporte quelque chose de plus dans notre propre regard sur le monde.

- Guillaume Cabana, Le Cochaux Show

Yara El Ghadban et Rodney Saint-Éloi nous invitent ici à dialoguer. Les deux écrivain.e.s se livrent à vous, sous la forme d’un échange épistolaire, riche et bienveillant. À partir de leur propres expériences et de leurs souvenirs, chacun.e tente de répondre à la question du racisme.

- Éric Chouan, Mission encre noire

Yara El-Ghadban et Rodney Saint-Éloi ont fait plus qu’œuvre utile en réunissant leurs correspondances dans Les racistes n’ont jamais vu la mer. Ils en ont fait une large fresque de la situation actuelle vécue par les personnes dites racisées, tout en les projetant dans une société égalitaire pour toutes et tous.

- Jean-François Crépeau, Passion chronique

Deux amis célèbrent leur appartenance au Québec, leurs parcours de vie, leur amour de la culture. Les anecdotes sont étrangement familières, le langage est universel, plein de verve et d’espoir. Leurs voix, littéraires, font naître des images fortes. On y parle du silence, de la manière de raconter, de conjuguer au pluriel. On revit le 11 septembre 2001 à travers les yeux d’une jeune femme arabe nouvellement embauchée comme professeure de piano à Sainte-Julie, on nage avec des chiens en Haïti, on discute de livres, de monuments, de musique et, surtout, on réfléchit à la signification du titre, un choc pour moi qui n’avais jamais vu la mer de cet œil.

- Sébastien Veilleux, Les Libraires

Un livre remarquable, notamment par le ton avec lequel ces délicates questions y sont abordées… un livre plus que bienvenu en ces heures où parler de sujets sensibles semble parfois si difficile.

- Normand Baillargeon, Les Libraires

C’est très émouvant, ça fait énormément réfléchir.

- Chantal Guy, Retour vers la culture

Quand deux auteurs prennent la plume pour réfléchir sur le racisme en disant tout autant leur amour pour la terre d’accueil que l’ignorance et les préjugés dont ils ont été victimes, quand un poète et une romancière écrivent les mots tabous, quand ils dénoncent la disparition des langues autochtones, cela se traduit par un essai lucide et lumineux, fourmillant de questions, célébrant la parole, la liberté et l’espoir d’un avenir meilleur grâce à l’instauration d’un vrai dialogue. Un livre essentiel qui donne aussi envie de lire tous les auteurs évoqués au cours de ce dialogue poétique et tonique, de Schéhérazade à Naomi Fontaine…

- Chrystine Brouillet, Salut bonjour

Deux amis, Rodney Saint-Éloi et Yara El-Ghadban, échangent sur la beauté de la diversité sous le signe de la bienveillance. À travers leurs expériences personnelles, les deux écrivains invitent au dialogue ainsi qu’à la nuance malgré l’urgence et la crise durant lesquelles a été écrit l’ouvrage. Ce livre ouvre une porte sur les délicates questions qu’il reste à aborder en lien avec le racisme.

- Alix Paré-Vallerand, Maison de la littérature

Actualités de l'ouvrage

"Les racistes n'ont jamais vu la mer" dans la sélection des essais de novembre — Les libraires

Rodney Saint-Éloi en entrevue à "Si petite la planète"

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