Lettres en forêt urbaine
Lettres en forêt urbaine
Que serait Montréal sans la souveraineté de ses arbres ?
L’arbre est politique.
Bertrand Laverdure sait parler aux arbres. Sans eux, les femmes et les hommes perdraient leur chemin et leur cœur. Une musique infinie, un vertige, un piano, ou une danse projette sa lumière sur la ville. Que serait Montréal sans ce peuple vertical qui enseigne la douceur, l’espoir et l’humilité.
Parution 27 mars 2018
Pages 85 p.
ISBN Papier 978-2-89712-626-1
ISBN EPUB 978-2-89712-627-8
ISBN PDF 978-2-89712-628-5
Disponible en format papier et numérique.
L'auteur
Bertrand Laverdure
Né en 1967, Bertrand Laverdure est poète, romancier, performeur, blogueur, « technicien coiffeur », recherchiste et chroniqueur pour l’émission littéraire Tout le monde tout lu! à MAtv.
Il s'intéresse à la multidisciplinarité en littérature. En poésie, il a notamment publié Rires (Noroît 2004), Sept et demi (Le Quartanier, 2007) et Rapport de stage en milieu humain (Triptyque,2014). Ses romans, dont Gomme de xanthane (Triptyque, 2006), Lectodôme (Quartanier, 2008), J’invente la piscine (roman pour adolescents, La courte échelle, 2010), ainsi que Bureau universel des copyrights (La Peuplade,2011), ont tous reçu un accueil critique chaleureux.
Il a participé à plusieurs collectifs d’auteurs, dont Être un héros (La courte échelle, 2011), deux collectifs au Quartanier et Bienvenue aux dames (VLB, 2014). La traduction en anglais de Bureau universel des copyrights est parue chez Bookthug à Toronto en octobre 2014.
Il a obtenu le prix Joseph S. Stauffer, décerné par le Conseil des arts du Canada, en 1999. Il a également reçu le prix Rina-Lasnier en 2003 pour son recueil Les forêts (Noroît, 2000), recueil qui fut aussi retenu comme finaliste au prix Émile-Nelligan en 2000. Son livre Audioguide (Noroît, 2002), a aussi été en nomination pour le Grand Prix du Festival international de Poésie de Trois-Rivières en 2003.
Les médias en parlent
Un poète écologique ? Il écrit à des arbres montréalais. Entrer en relation avec les arbres, c’est réinventer et actualiser la poésie. Oui, si la société se plaît à changer les paradigmes de représentations. La poésie de Laverdure constitue une prise de conscience profonde.
- Ricardo Langlois, « Le top 10 des livres 2019 », http://lametropole.com/