La maison de ma mère
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Souvankham Thammavongsa
Traduit de l’anglais par Véronique Lessard
Dans La maison de ma mère, Souvankham Thammavongsa médite sur le sens que l’on donne aux moments et souvenirs d’enfance et aux marques laissées par le temps et la distance. Les animaux, la culture pop dans laquelle elle a grandi, l’histoire tragique du Laos, son pays natal, la guerre et les bombes, les vacances en famille et les vieilles photos sont autant de lieux et d’objets de mémoire et de silences. Les silences chargés, à leur tour, évoquent des événements des plus ordinaires aux plus traumatiques qu’on ne saurait aborder que par l’oblique, par fragments.
Née en 1978 dans un camp de réfugiés laotien en Thaïlande, Souvankham Thammavongsa est poète et romancière. Elle a publié trois recueils de poésie et un premier livre de nouvelles à succès, How to pronounce knife, traduit par Mémoire d’encrier sous le titre Le k ne se prononce pas, qui l’a fait connaître dans le monde entier. Souvankham Thammavongsa est l’une des voix les plus puissantes de sa génération. Elle vit à Toronto.
- Lire les notes biographiques de Souvankham Thammavongsa
- Lire les notes biographiques de Véronique Lessard
Poésie 19,95$ /16€ 104 pages
978-2-89712-899-9 (papier)
27 mars 2023 (Québec)
à venir (France/Belgique/Suisse)Disponible en format papier et numérique
- © Steph Martyniuk
Ce que la presse en dit
Souvankham Thammavongsa s’est forgé une réputation comme écrivaine minimaliste. Les silences chargés de Thammavongsa dans La maison de ma mère disent l’effacement du langage et de l’histoire. Sa poésie en fragments offre un abri au lecteur, ouvrant un espace pour rêver sans crainte ni censure de ce qui se trouve au-delà de la page.
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