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L’or des mélèzes

  • Carole Labarre

    Finaliste Prix littéraires du Gouverneur général 2023 – catégorie roman/nouvelles/récit

     Prix littéraire Myriam-Caron 2023

    Lauréat Prix Voix autochtones  2023 – catégorie textes en prose publiés en français

    Lauréat Prix Arts et Culture INNUS 2023, Prix d’excellence Culture Côte-Nord 

    Sélection québécoise pour le prix des Rendez-vous du premier roman – Lectures plurielles – 2023-2024

    Finaliste prix Senghor du 1er roman francophone et francophile

    Pishimuss, une aînée, revient sur sa vie au sein de sa communauté. Elle raconte les amitiés, les amours, la chasse au caribou, le fleuve et la forêt.

    L’or des mélèzes est une série de tableaux, de moments de vie, d’instantanés. Sophie, la meilleure amie. Mathias, le fils qui meurt sans jamais mourir. Adeline, l’adolescente révoltée. Et puis, il y a Xavier, l’amour de sa vie. Xavier, dont l’histoire est portée sur le dos d’une rivière. Roman familial à l’écriture épurée, L’or des mélèzes capte des scènes des vies à la fois lumineuses et poignantes, sans pathos ni ressentiment.

     


    Roman  978-2-89712-877-7  21,95$ /17 €   120 pages

    7 octobre 2022 (Québec)
    3 février 2023 (Europe)

     

    Disponible en format papier et numérique


     

    Ce que la presse en dit

     

    Rassemblant de petites scènes, profondément poétiques, pleines de vie, et illuminant une variété d’expériences contemporaines et historiques des Innus, ce roman brille. Labarre y explore les connexions intergénérationnelles et familiales d’une manière exceptionnelle, évoquant les traditions, les espaces, et l’intimité du partage de récits.

    Jury Prix Voix autochtones  2023

    Un petit bijou de roman. À partir des souvenirs de Pishimuss, une aînée de la communauté de Pessamit, on accède, par petits tableaux finement ciselés, à l’histoire de la communauté et du peuple innu. Que ce soit la naissance de Pishimuss sur une plage dans le territoire ou le passé trouble de Mathias, l’ivrogne du village, on comprend mieux ce qui a forgé leurs destins. Il s’agit du premier livre de Carole Labarre, et on ne peut souhaiter qu’en lire davantage de cette autrice prometteuse.

    Joée et Marilie, Librairie L’Euguélionne, Suggestions pour lire autochtone en juin

    L’or des mélèzes est une belle porte d’entrée sur la littérature innue, tout en ayant une signature originale et distincte de tout ce qui a déjà été fait en littérature autochtone. D’une grande maîtrise. Épatant pour un 1er roman !

    Jury du Prix Myriam-Caron

    Construite sous la forme d’une série de petits tableaux, l’oeuvre nous fait naviguer, par la voix de Pishimuss, entre les souvenirs lumineux et les moments de vie plus déchirants. Certains passages tout en poésie font référence à des personnages de la cosmologie innue. Par la parole des ainés, on traverse le territoire, le Nutshimit, mais également les liens familiaux, les amitiés et les amours qui se racontent dans une écriture épurée.

    Frédérique Saint-Julien, revue Collections

    L’or des mélèzes célèbre la beauté d’un territoire et la richesse des valeurs d’un peuple. Un roman familial où tintinnabule une poésie du quotidien.

    Sarah Gastel, Page des libraires français

    Un tableau aux multiples facettes de la vie quotidienne qui rythme les saisons dans les différentes familles, avec ses joies, ses peines et ses difficultés.
    Un roman, construit d’autant de touches lumineuses et poétiques, qui nous fait découvrir toute la sensibilité de ce peuple et son rapport à la nature. 

    Marithé, librairie Une page à écrire

    Le roman a fait résonner des images, car je pense qu’en tant qu’Innue, d’une communauté à l’autre, on a tous et toutes ces images-là. C’est certain que c’est un petit bijou que je ferai lire à mes enfants un jour!

    Mélissa Mollen-Dupuis, Kuei! Kwe!

    L’écriture de Carole Labarre traduit la fierté d’un peuple : les Innus habitent les terres depuis toujours, ils connaissent les détails de chaque étendue d’eau et ont foulé chaque sentier.

    Eang-Nay Theam, Revue Littoral, numéro 17


    juillet 20th, 2022 | Mémoire d'encrier | Commentaires fermés sur L’or des mélèzes |

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