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Lydia Mestokosho-Paradis

  • ©️Olivier Pontbriand – La Presse

    Née à Rivière-du-Loup, Lydia Mestokosho-Paradis a grandi à Ekuanitshit où elle crée et travaille comme agente culturelle à la Maison de la culture innue. Sa mère est originaire de Ekuanitshit et son père a des origines québécoises et nouveau-brunswickoises. Elle est fière de parler l’innu-aimun et fière de ses origines. Avec beaucoup d’admiration, elle regarde les aînés. Avec beaucoup d’espoir, elle regarde les enfants. Avec beaucoup de prières, elle se bat pour la transmission et la sauvegarde de l’innu-aimun et de l’innu-aitun, la langue et la culture innues.

    Les arts sont une méthode d’expression, de méditation et de transmission culturelle. C’est avec la matière, les couleurs et les formes que je m’exprime le mieux. Je suis femme, je suis enfant, je suis innue, je suis allochtone, je suis métisse, je suis artiste… C’est dans la notion de la tension que j’unifie mes identités. Mes oeuvres parlent d’hommage, de nostalgie, de fragilité et de transmission.

    Ses installations en art contemporain, Ashamet, Teueikan umanituma, Ka uapatak ont été exposées dans diverses galeries et musées dont le musée de la Civilisation à Québec.

    Publications chez Mémoire d’encrier :

     


    avril 11th, 2021 | Yara El-Ghadban | Commentaires fermés sur Lydia Mestokosho-Paradis |

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