La balançoire de jasmin
La balançoire de jasmin
Le roman retrace le périple de deux amants qui quittent la Syrie en guerre pour se refugier au Canada, l’un se projette dans l’avenir alors que l’autre est mourant. Histoire d’exil, La balançoire de jasmin s’inspire des Mille et une nuits. Le conteur Hakawati rappelle les fables de leur passé. Nuit après nuit, il tisse les souvenirs de leur enfance à Damas, de leur exil, de la guerre, de leur histoire d’amour tandis que la Mort partage leur logis et prête l’oreille à tous leurs secrets.
Parution 7 août 2019
Langue originale Anglais
Pages 257 p.
ISBN Papier 978-2-89712-633-9
ISBN EPUB 978-2-89712-634-6
ISBN PDF 978-2-89712-635-3
Disponible en format papier et numérique.
L'auteur
Ahmad Danny Ramadan
Né en 1984, Ahmad Danny Ramadan est romancier, conférencier, chroniqueur et militant pour la cause des réfugiés LGBTQ+. D’abord exilé au Liban, il s’installe à Vancouver en 2014. Après deux recueils de nouvelles publiés en arabe, il publie son premier roman (The Clothesline Swing / La balançoire de jasmin). Son dernier roman, The Foghorn Echoes (Penguin - 2022) a gagné le Prix Lambda et est en liste pour le BC & Yukon Book Prizes.
Les médias en parlent
Deux amants face à la mort. Deux hommes que la guerre et les lois religieuses ont bien failli briser à tout jamais! […] Roman d’une grande beauté, oscillant entre l’ombre et la lumière, mais empreint d’une belle poésie et d’une grande tendresse […]. Assurément l’un des plus beaux romans sur cette thématique que j’ai lus depuis longtemps!
- Billy Robinson, Les Libraires
Tour à tour coming out, leçon de vie, critique de l’autoritarisme, La balançoire de jasmin est un plaidoyer sur la nécessité de raconter.
- Kamal Al-Solaylee, Quill and Quire
Sombre et merveilleux, violent et doux, le premier roman de Ahmad Danny Ramadan se lit comme la lettre d’amour déchirée d’un fils gay pour sa mère patrie, la Syrie – un regard porté sur notre époque afin de s’inventer un avenir.
- The Globe and Mail
Un premier roman puisé par Ahmad Danny Ramadan dans sa propre histoire, complexe, douloureuse. Car ce que raconte le Conteur, au fil de ses histoires, s’adressant le plus souvent à l’Ange de la mort qui s’apprête à emmener l’Amoureux, c’est aussi la condition faite aux gays dans le monde arabe, à la fois taboue et extrêmement périlleuse…
- Jean-Claude Perrier, Livres Hebdo