Essai

Les racistes n'ont jamais vu la mer

Les racistes n'ont jamais vu la mer - les racistes n'ont jamais vu la mer
Les racistes n'ont jamais vu la mer - C4
Les racistes n'ont jamais vu la mer - les racistes n'ont jamais vu la mer

Les racistes n'ont jamais vu la mer

Yara El-Ghadban

Rodney Saint-Éloi

Parlons de racisme puisque le racisme concerne tout le monde. Les écrivains Rodney Saint-Éloi et Yara El-Ghadban invitent à prendre part à cette conversation délicate, mais combien nécessaire. Ni manifeste, ni manuel, ni acte d’accusation, Les racistes n’ont jamais vu la mer engage le dialogue sur nous-mêmes et sur les autres. Tout s’exprime librement, se confronte et se répond. Les mots. Les expériences. Les idées. Les émotions. Parlons de racisme puisqu’il faut dépasser le repli sur soi. Pour vivre ensemble, autrement.

Essai

Parution 4 octobre 2021

Pages 305 p.

ISBN PDF 978-2-89712-814-2

ISBN EPUB 978-2-89712-813-5

ISBN Papier 978-2-89712-812-8

Disponible en format papier et numérique.

Prix et distinctions

  • 2022

    Finaliste, Prix des libraires

Les médias en parlent

Dans une ambiance débonnaire et candide d’une conversation entre amis, deux auteurs racisés font le récit de leurs expériences intimes et de la traversée de leur pays d’origine au Québec. Ils pensent ainsi, en toute liberté mais sans âpreté, le sujet délicat du racisme, nomment sans ambages les mots tabous et imaginent les avenues lumineuses d’un vivre-ensemble.

- Les Libraires

C’est tellement beau, ça m’a ouvert les yeux. C’est superbement écrit.

- Julie St-Amour, Ça vaut le retour

D’emblée, Rodney Saint-Éloi et Yara El-Ghadban rassurent leurs futurs lecteurs et lectrices : Les racistes n’ont jamais vu la mer est un essai qui ne pointe personne du doigt et qui ne fait aucun appel au sentiment de culpabilité, bien au contraire.

- Plus on est de fous, plus on lit !

Yara El-Ghadban et Rodney Saint-Éloi ont planté un arbre et invitent tout le monde à l’entourer afin d’échanger au sujet du racisme. Les deux écrivains se relancent l’un l’autre tout au long du livre, Les racistes n’ont jamais vu la mer, en tablant sur leurs expériences personnelles.

- Mario Cloutier, La Presse

Lire Les racistes n’ont jamais vu la mer c’est élever ainsi son regard droit devant soi et accepter de faire un pas vers « l’Autre ». Pour avancer. Ensemble

- Léa Harvey, Le Soleil

Dans ce livre-fleuve, qui tient du genre épistolaire, du récit initiatique, de la critique littéraire, du commentaire historique et du pamphlet politique, Rodney Saint-Éloi et Yara El-Ghadban dressent un portrait exhaustif des manifestations du racisme. Ils prennent toutefois soin de préserver un espace pour le rêve et pour un certain art de vivre, considérés ici comme des remparts intimes contre les agressions subies au quotidien.

- Alexis Raynault, Le Devoir

C’est un livre qui aborde de manière majestueuse la beauté de la diversité, liée aux notions qui sont apportées par les personnes ayant un autre regard sur le monde. Ce regard-là nous apporte quelque chose de plus dans notre propre regard sur le monde.

- Guillaume Cabana, Le Cochaux Show

Yara El Ghadban et Rodney Saint-Éloi nous invitent ici à dialoguer. Les deux écrivain.e.s se livrent à vous, sous la forme d’un échange épistolaire, riche et bienveillant. À partir de leur propres expériences et de leurs souvenirs, chacun.e tente de répondre à la question du racisme.

- Éric Chouan, Mission encre noire

Yara El-Ghadban et Rodney Saint-Éloi ont fait plus qu’œuvre utile en réunissant leurs correspondances dans Les racistes n’ont jamais vu la mer. Ils en ont fait une large fresque de la situation actuelle vécue par les personnes dites racisées, tout en les projetant dans une société égalitaire pour toutes et tous.

- Jean-François Crépeau, Passion chronique

Deux amis célèbrent leur appartenance au Québec, leurs parcours de vie, leur amour de la culture. Les anecdotes sont étrangement familières, le langage est universel, plein de verve et d’espoir. Leurs voix, littéraires, font naître des images fortes. On y parle du silence, de la manière de raconter, de conjuguer au pluriel. On revit le 11 septembre 2001 à travers les yeux d’une jeune femme arabe nouvellement embauchée comme professeure de piano à Sainte-Julie, on nage avec des chiens en Haïti, on discute de livres, de monuments, de musique et, surtout, on réfléchit à la signification du titre, un choc pour moi qui n’avais jamais vu la mer de cet œil.

- Sébastien Veilleux, Les Libraires

Un livre remarquable, notamment par le ton avec lequel ces délicates questions y sont abordées… un livre plus que bienvenu en ces heures où parler de sujets sensibles semble parfois si difficile.

- Normand Baillargeon, Les Libraires

C’est très émouvant, ça fait énormément réfléchir.

- Chantal Guy, Retour vers la culture

Quand deux auteurs prennent la plume pour réfléchir sur le racisme en disant tout autant leur amour pour la terre d’accueil que l’ignorance et les préjugés dont ils ont été victimes, quand un poète et une romancière écrivent les mots tabous, quand ils dénoncent la disparition des langues autochtones, cela se traduit par un essai lucide et lumineux, fourmillant de questions, célébrant la parole, la liberté et l’espoir d’un avenir meilleur grâce à l’instauration d’un vrai dialogue. Un livre essentiel qui donne aussi envie de lire tous les auteurs évoqués au cours de ce dialogue poétique et tonique, de Schéhérazade à Naomi Fontaine…

- Chrystine Brouillet, Salut bonjour

Deux amis, Rodney Saint-Éloi et Yara El-Ghadban, échangent sur la beauté de la diversité sous le signe de la bienveillance. À travers leurs expériences personnelles, les deux écrivains invitent au dialogue ainsi qu’à la nuance malgré l’urgence et la crise durant lesquelles a été écrit l’ouvrage. Ce livre ouvre une porte sur les délicates questions qu’il reste à aborder en lien avec le racisme.

 - Alix Paré-Vallerand, Maison de la littérature

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