Aimititau! Parlons-nous! (format poche)
Aimititau! Parlons-nous! (format poche)
Aimititau ! Parlons nous ! réunit pour la première fois des auteurs du Québec et des Premières Nations, à travers des correspondances inédites qui prennent la forme de lettres, de récits, de courriels, de poèmes et de contes. Vingt-neuf auteurs, confirmés et jeunes, sont rassemblés ici par le désir de mieux se connaître. Ils initient le dialogue et rompent les solitudes.
Les écrivains jumelés s’écrivent des mois durant jusqu’à faire surgir une œuvre faite de tendresse et d’inquiétude, de révolte et d’espoir. Les grandes et incontournables questions humaines reviennent d’une correspondance une autre.
Aimititau! Parlons-nous! donne à lire une multitude de voix et de points de vue, qui expriment la manière d’être ensemble, d’habiter la même terre et de vivre dans le respect de l’autre. Véritable action de solidarité. Résonances d’une lettre à une autre, d’un tourment à un autre, d’une joie à une autre, pour se rejoindre dans la fraternité des mots.
Parution 19 septembre 2017
Pages 330 p.
ISBN Papier 978-2-89712-486-1
ISBN EPUB 978-2-89712-487-8
ISBN PDF 978-2-89712-488-5
Disponible en format papier et numérique.
Les médias en parlent
Un livre tout à fait fascinant, émouvant, intriguant qui tente de faire le pont entre les Premières Nations et les Blancs.
- Raymond Cloutier, Radio-Canada / Vous m’en lirez tant
Ça nous remue profondément. C’est troublant à plusieurs niveaux. Il y a aussi des moments très drôles. On sort de ce livre habité de tous ces univers. On ne peut passer à côté de ce livre-là.
- Jean Fugère, Radio-Canada/Pourquoi pas dimanche
Cette expérience à la fois littéraire et politique tente de traverser la rivière des cultures par l’entremise de l’écriture, de l’imaginaire et de la confidence, plutôt que par des rapports diplomatiques ou économiques. C’est rare. Et précieux.
- Dalie Giroux, Le Devoir
Le collectif Aimititau propose une série d’émouvantes correspondances entre écrivains des Premières Nations et écrivains québécois.
- Jade Bérubé, La Presse