Femmes rapaillées
Femmes rapaillées
En 1970, le poète Gaston Miron publie L’homme rapaillé, dont le poème liminaire – fondateur – marque l’arrivée, la naissance, l’aube : « je ne suis pas revenu pour revenir / je suis arrivé à ce qui commence ». Près de cinquante ans plus tard, quarante et une femmes poètes, Québécoises d’ici et d’ailleurs, de générations et de sensibilités différentes, prennent la parole, pour que le commencement continue d’advenir.
Engagées dans l’avenir, des femmes poètes deviennent ce chant ininterrompu. Elles révèlent par leurs voix autant de chemins d’arriver à ce qui commence, de naître à soi, à l’autre et au monde. Elles écrivent non pas à la suite de Miron, mais avec et contre lui.
Parution 1 mars 2016
Pages 238 p.
ISBN Papier 978-2-89712-369-7
ISBN EPUB 978-2-89712-370-3
ISBN PDF 978-2-89712-371-0
Disponible en format papier et numérique.
Les médias en parlent
Quarante-et-une auteures d’origines et de générations diverses unissent leurs voix dans un recueil de poésie intitulé Femmes rapaillées.
- Camille Dufétel, Journal de Montréal
Isabelle Duval et Ouanessa Younsi ont glané la parole de femmes et poètes de tous les âges et horizons. Ces Femmes rapaillées ne tentent pas d’offrir une suite à l’oeuvre de Gaston Miron, mais s’en inspirent plutôt pour clamer haut et fort les multiples facettes de leur féminité.
- Valérie Lessard, Le Droit
Toute initiative pour mettre en lumière la parole des femmes ne saurait qu’être louée, d’autant plus quand la proposition est de qualité. Belle anthologie, donc, et proposition heureuse à venir saisir l’importance d’une incarnation vive de la parole nécessaire.
- Hugues Corriveau, Le Devoir
Un recueil touchant et inspirant.
- Catherine Gauthier, Nouvelles CSQ