Haïti délibérée
Haïti délibérée
Chronique de Jean Morisset sur Haïti. Il s’agit de récits de voyage qui, de 1986 à 1990, nous décrivent des manières éclatée Haïti.
1986 : Chute de la dictature des Duvalier et balbutiements de la démocratie en Haïti. Suite de coups d’État suivis d’éclaicies démocratiques. Ce livre, dans sa manière surréaliste, présente une chronique du pays dans sa marche vers la démocratie. Tantôt illusion et espoir. Tantôt déception et tragédie.
Une histoire de l’Amérique, dans les yeux tourmentés du pays d’Haïti, est racontée ici. Pour la première fois est évoquée la double relation Haïti-Québec. Tajectoire de deux peuples d’Amérique que tout rassemble et divise à la fois. Jean Morisset en est le témoin et l’acteur.
Parution 22 août 2011
Pages 292 p.
ISBN Papier 978-2-923713-39-7
ISBN EPUB 978-2-89712-000-9
ISBN PDF 978-2-89712-165-5
Disponible en format papier et numérique.
L'auteur
Jean Morisset
Jean Morisset, né à l’hiver 1940 sur les rives du Grand Fleuve, à Bellechasse-en-Canada, avant l’ouverture des routes, est écrivain, géographe et nomade. Parmi ses publications, citons Métis Witness to the North (Vancouver, Tillacum Library, 1986) et Chants polaires (Leméac / Actes Sud, 2002). En quête de la mémoire géographique
analphabète, il poursuit une vaste interrogation sur le destin et l’aventure métisse dans une perspective « amériquaine », depuis les terres arctiques jusqu’aux terres de braise en
passant par la Caraïbe et le pays secret des mille promesses.
Aux éditions Mémoire d’encrier, il a fait paraître Les chiens s’entre-dévorent… (2009) et Haïti délibérée (2011).
Les médias en parlent
Comprendre les Amériques à partir de deux nations que tout rapproche et oppose en même temps: Haïti et le Québec. Voilà le défi insolite qu’a relevé le géographe Jean Morisset, qui rappelle que les Haïtiens ont proclamé l’indépendance de leur pays dès 1804. «Tu vois où ça les a menés», lui disent des compatriotes québécois. Morisset leur réplique: « Oui, je vois. Je vois même où ça ne nous a pas menés.» Et vlan! Il nous transperce.
- Le Devoir