Shushei au pays des Innus
Shushei au pays des Innus
José (Shushei) Mailhot, une Blanche chez les Innus, apprend leur langue et entre dans le cercle de leur vie. Un récit brûlant de vérité qui aide à comprendre la relation entre le Québec et les Premières Nations. Shushei au pays des Innus ouvre une fenêtre sur les communautés innues : leur langue, leur légende, leur culture. José Mailhot, traductrice d’An Antane Kapesh, témoigne de son apprentissage du monde.
Parution 7 juin 2021
Pages 226 p.
ISBN Papier 978-2-89712-785-5
ISBN EPUB 978-2-89712-786-2
ISBN PDF 978-2-89712-787-9
Disponible en format papier et numérique.
L'autrice
José Mailhot
Née en 1943, José Mailhot est diplômée du Département d’anthropologie de l’Université de Montréal. Consultante et chercheure indépendante, elle a effectué de nombreux travaux de recherche sur la culture, la langue et l’histoire des Innus du Québec et du Labrador. Elle est l’auteure d’une monographie intitulée Au pays des Innus : Les gens de Sheshatshit (Recherches amérindiennes au Québec, 1993) et co-auteure d'un Dictionnaire innu-français (Institut Tshakapesh, 2012). Elle a traduit Je suis une maudite sauvagesse et Qu’as-tu fait de mon pays ? d’An Antane Kapesh, réédités par Mémoire d’encrier.
Elle a également publié Shushei au pays des Innus chez Mémoire d'encrier en 2021.
Les médias en parlent
José Mailhot voyait son dernier livre, Shushei au pays des Innus, comme « le testament d’une génération », dit Rodney Saint-Éloi. Elle y aborde longuement sa relation avec An Antane Kapesh. Elle y raconte aussi ses premiers cours d’innu auprès d’un jeune homme de Schefferville appelé Shanemin. « Il m’a fourni pas moins de 27 termes dont le dénominateur commun était “traverser la rivière” », écrit-elle.
- Caroline Montpetit, Le Devoir
Serge Bouchard, Sylvie Vincent, José Mailhot et Rémi Savard avaient compris qu’il n’y a nulle réconciliation possible sans fraternité ni amitié. Puisse leur œuvre en avoir fécondé de nouvelles, à la hauteur des espérances d’une compréhension meilleure des uns et des autres que portaient leurs savoirs.
- Jean-François Nadeau, Le Devoir
Nous avons perdu quatre anthropologues (Mailhot, Bouchard, Rémi Savard et Sylvie Vincent) qui se sont intéressés de près aux cultures autochtones, ce qui en a fait des marginaux dans leur domaine à l’époque.
- Chantal Guy, La Presse