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Jonny Appleseed

  • Finaliste au Prix littéraire du Gouverneur général 2020, catégorie traduction

    Joshua Whitehead 

    Traduit de l’anglais par Arianne Des Rochers 

    Travailleur du cybersexe, Jonny doit rentrer à la réserve dans une semaine pour assister aux funérailles de son beau-père. Pendant ces sept jours, Jonny se raconte : enfance, amitié, amour, sexe, alcool, maquillage, musique, fantômes, espoirs. Le fil des liens familiaux se retisse avec sa mère, sa kokum, ses tantes et oncles. Surgit tout un monde de tendresse.

    Poète et romancier bispirituel, Joshua Whitehead est membre oji-cri/nehiyaw de la Première Nation de Peguis, au Manitoba. Jonny Appleseed est son premier roman.


    Roman   978-2-89712-657-5       23,95$     272 pages 

    25 septembre 2019 (Québec) 
    20 août 2020 (France/Belgique/Suisse) 

    Disponible en format papier et numérique


     

    Ce que la presse en dit 

    En montrant que le queer est une possibilité inscrite dans la tradition de la langue, Whitehead ménage aux NDN queer une place en littérature.

    Zoé Courtois, Le Monde

     

    Voici quelqu’un qui connaît très bien les deux cultures, celle des Amérindiens et celle des Blancs (de la mythologie grecque à Stranger Things en passant par Shakespeare et Nirvana). Jonny passe avec une fluidité incroyable de scènes de sexe à des souvenirs d’enfance, de fêtes très arrosées à des rêves presque chamaniques. Il a son lot de cicatrices au corps et à l’âme et connaît le quadrilatère infernal déjà remarqué par An Kapesh qui fait tant de mal dans les réserves : école, alcool, hôpital, prison. Il parle aussi des ravages du diabète, des grossesses adolescentes, des enfants retirés à leur famille, des filles disparues. Il choisit de quitter la réserve malgré un tiraillement insoluble. « Bon sang, j’ai joué les hétéros sur la réserve pour pouvoir être NDN, ici je joue les Blancs pour pouvoir être queer. On ne peut pas toujours tout avoir dans la vie. »

    Sophie Ehrsam, En attendant Nadeau

     

    Voilà un exploit de perfection littéraire. Je suis ébloui, Jonny. Je te suis reconnaissant, Joshua. Je suis stupéfait de tout ce que tu nous offres ici à honorer, à chérir et à découvrir. Tu es mon nouveau héros.

    Richard Van Camp, écrivain

    Joshua Whitehead redéfinit les possibilités de l’écriture autochtone queer dans son puissant premier roman. Jonny Appleseed transcende les genres d’écriture et mélange le sacré et le sexuel pour forger une expression viscérale du désir et de l’amour décoloniaux.

    Gwen Benaway, auteure

    Jonny Appleseed, ce premier roman, n’est rien de moins qu’un miracle.

    Canadian Art

     

    La langue de Whitehead est parfois concrète, très contemporaine, truffée de références à la culture populaire, du film Titanic à la télésérie Stranger Things en passant par le jeu vidéo Crash Bandicoot. Par endroits, le ton se fait onirique, adopte une envergure mythique […] Les pages qui concernent l’enfance, souvenirs de première fois, tendres ou déchirants, traduisant le courage d’une communauté ou mettant en relief de révoltantes inégalités, sont particulièrement puissantes.

    Christian Saint-Pierre, Le Devoir


    juillet 10th, 2019 | Yara El-Ghadban | Commentaires fermés sur Jonny Appleseed |

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