Chorégraphies pour le vivant
Chorégraphies pour le vivant
Printemps 2020. Alors qu'elles sont confinées, Robyn Maynard, chercheure et militante noire, et Leanne Betasamosake Simpson, écrivaine et musicienne autochtone, s'écrivent. Elles partagent vécu, espérances et réflexions face à un monde en crise, marqué par la pandémie de la COVID 19, la violence policière et la catastrophe climatique. Elles évoquent les histoires et les luttes de leurs communautés contre le racisme, l'esclavage et la colonisation. Lettre après lettre s'ouvrent de nouvelles voies et manières de vivre, ancrées dans la corésistance noire et autochtone.
Parution 28 juin 2024
Langue originale Anglais
Pages 284 p.
ISBN Papier 978-2-89712-994-1
ISBN EPUB 978-2-89712-995-8
ISBN PDF 978-2-89712-996-5
Disponible en format papier et numérique.
L'autrice
Robyn Maynard
Militante communautaire de longue date, Robyn Maynard s’implique dans les mouvements contre le profilage racial, la violence policière, la détention et la déportation depuis plus d’une décennie.
Elle a écrit dans le Washington Post, World Policy Journal, Toronto Star, Gazette de Montréal et dans le Canadian Women’s Studies Journal. Elle a aussi publié un essai paru dans la revue Maisonneuve qui a mérité la distinction d’ « essai le plus lu » de 2017.
Ses contributions et textes sur les enjeux de la race, du genre et sur la discrimination sont enseignés au Canada et aux États-Unis. Elle est sollicitée pour son expertise par les médias locaux, nationaux et internationaux, y compris The Guardian, le Globe and Mail, ainsi que le Groupe de travail des Nations Unies sur les personnes d’ascendance africaine.
La traduction française de NoirEs sous surveillance remporte le Prix des libraires 2019 dans la catégorie Essais.
L'autrice
Leanne Betasamosake Simpson
Écrivaine et musicienne, Leanne Betasamosake Simpson est une figure de proue de la résurgence autochtone au Canada. Elle a publié chez Mémoire d’encrier Cartographie de l’amour décolonial (2018), On se perd toujours par accident (2020) et Noopiming. Remède pour guérir de la blancheur (2021).
Les médias en parlent
Le lecteur est invité à entrer dans l’intimité intellectuelle et matérielle d’une femme noire et d’une Nishnaabeg, à travers leurs réflexions sur un monde nouveau, un monde à venir, un monde écologiquement responsable qui serait complètement débarrassé du poison capitaliste et colonial — car tout cela est, selon elles, interrelié, fermement.